
Zenith, une maison horlogère tout-terrain
Raidillon, ces deux noms sont connus des esthètes, des gentlemen-drivers, des amateurs de circuits et de garde-temps de caractère. Mais pourquoi ces deux maisons sont-elles réunies aujourd’hui ? La réponse, ci-dessous.
Chapal est la maison de prêt-à-porter de luxe et de maroquinerie presque bicentenaire qui, outre, les cuirs, et les peaux a développé avec succès une ligne de vêtements spécifique aux pilotes et d’accessoires dédiés aux gentlemen-drivers au style vintage. Un dynamisme créatif insufflé par Jean-François Bardinon, qui réinvente depuis presque deux décennies l’histoire du cuir et de la fourrure et de la maison Chapal. Une maison qui cultive le bon goût et l’élégance classique et qui a su prendre le virage de la modernité.
Raidillon, pour les novices c’est le nom d’un célèbre virage abrupt, situé sur un circuit non moins célèbre ; Spa-Francorchamps, en Belgique. La marque horlogère, créée en 2001, s’inscrit dans l’univers des courses automobiles et du plaisir de la conduite. Les garde-temps Raidillon sont dotés d’un mécanisme suisse et d’un design 100 % belge. Produits en séries limitées, 55 précisément, ces montres incarnent parfaitement l’accessoire du gentleman-driver moderne épris de style vintage et d’histoire et de sensations fortes. Toute une stylistique et clin d’œil au circuit et au virage se retrouvent dans les créations de la maison Raidillon. À vous de travailler, saurez-vous les trouver ? Cherchez bien sur le cadran.
Même univers (l’automobile), même monde (l’artisanat de luxe), même communauté de goûts et ambitions similaires. Voilà ce qui a sans doute réuni ces deux maisons franco-belge, une quête d’excellence, une même volonté de s’appuyer sur le savoir-faire chacune dans leur spécialité…
Raidillon, le designer de montres belges au mécanisme swiss-made a surpris les amateurs de chronographes et de belles mécaniques en présentant son tout nouveau modèle hommage au célèbre pilote français lors du dernier salon Rétromobile : Jean-Pierre Beltoise, l’un des symboles français majeurs des années héroïques du sport automobile.
Mouvement calibre Valjoux 7750 – Boîtier en acier inoxydable – Diamètre du boîtier 42 mm – Épaisseur du boîtier : 15,25 mm – Bracelet en cuir (largeur 22 mm) de veau perforé tanné écologique fabriqué à la main doté d’une boucle déployante – Poids de la montre 125 g – Série limitée à 55 exemplaires – 5 ans de garantie – Prix de vente conseillé 3 500 €.
Pour découvrir le modèle, prenez rendez-vous au show-room CHAPAL, info sur chapal.fr ou email à laurence@chapal.fr.
Le numéro 55, clairement mis en évidence à 11 heures sur le cadran des montres représente le nombre maxi d’autos autorisées dans certaines courses. 1955, c’est aussi l’année de création de l’Équipe Nationale Belge en sports automobiles.
C’est dans un boîtier en acier inoxydable intemporel que l’Oris Divers Sixty-Five Chronograph présente en exclusivité sa version bleu profond, une exclusivité Bucherer BLUE EDITIONS. On vous en dit plus.
Cette série créée en exclusivité pour la collection Bucherer BLUE EDITIONS saura séduire les amateurs de rareté. Et pour cause, il n’y a qu’à la regarder pour succomber à son charme suranné. Ce chronographe à l’allure sportive allie une esthétique résolument vintage à l’art horloger d’Oris, qui s’appuie sur plus d’un demi-siècle de savoir-faire en termes de conception de montres de plongée.
Pour cette création exclusive, la maison horlogère Oris a puisé dans son histoire pour offrir une réinterprétation moderne et sophistiquée de sa montre de plongée originale des années 1960, la Divers Sixty Five.
Alors, le prix de l’exclusivité, vous demanderez-vous ? On vous le dit 3900 €.
Le cadran et la lunette en aluminium ont été réalisés dans un bleu profond spécialement pour Bucherer en parfaite harmonie avec les éléments en acier inoxydable et le bracelet en cuir chocolat surpiqué de bleu. Le bleu profond du cadran conjugué à la surface convexe du verre confère au garde-temps un style robuste, expressif et précis, et cette impression de profondeur unique, comme les abysses océaniques. Le boîtier de 43 mm imposant et masculin a des proportions parfaites. Le dos de l’Oris Divers Sixty-Five Chronograph porte un détail inédit sous forme de gravures individuelles au fond du boîtier, qui symbolise son appartenance à la collection Bucherer BLUE EDITIONS.
Autre particularité de cette édition spéciale, les aiguilles bâtons composées de titane et la disposition BiCompax symétrique des index. L’affichage de ce modèle réinterprété se détache clairement du cadran bleu foncé grâce au revêtement Super LumiNova® “Light Old Radium”, qui améliore la lisibilité, même dans les profondeurs. Ce cadran conçu en exclusivité pour Bucherer et la lunette en aluminium d’un élégant bleu foncé confèrent à ce garde-temps une allure incomparable.
Oris poursuit ce jeu harmonieux autour du bleu jusque dans les moindres détails : des coutures bleues agrémentent le bracelet en cuir vintage, couleur chocolat. Celui-ci s’accorde à merveille avec les autres éléments chromatiques du chronographe et vient sublimer cette édition spéciale des plus réussie.
Tout en rondeur, hautement séduisant et pratique, la surface du verre saphir (résistant aux rayures et traité antireflet à l’intérieur) a été fortement bombée ce qui donne au chronographe ce style marqué, cette appartenance forte aux années 60. À noter que son emploi favorise la lisibilité et évite l’éblouissement, pratique sous l’eau !
Chronographe ORIS Bucherer BLUE EDITIONS Divers
Boîtier de 43 mm en acier • Cadran bleu avec index luminiscent • Mouvement automatique calibre SW 510 • Glace saphir • Étanche à 100 m • Réserve de marche 48 h. Plus d’infos sur le site Bucherer ou Oris.
Petit rappel, la maison Bucherer vous accueille du lundi au samedi au 12 bd Capucines, Paris 9.
Bell & Ross dévoile sa nouvelle BR-X1 Military, un chronographe haut de gamme à l’image des avions de chasse furtifs composé d’une boîte en HRT kaki mat et d’un affichage vert ultra lumineux. Attention édition limitée et futur collector comme la maison sait en produire. Alors la Military, nouvelle arme de destruction massive ?